dimanche 19 mars 2017

L’été des charognes, Simon JOHANNIN, Allia, 2017, 140 p.



J’ai chaussé mes bottes pour entrer dans le monde glauque, crade, vaseux, boueux, bouseux, ammoniacal… d’une ferme située dans le cul du monde rural d’il y a plus de 60 ans pour tomber dans l’univers aussi glauque, boueux des rave-party et des mauvais trips des années 80. On ne peut pas nier l’art d’écrire, de décrire de l’auteur via son narrateur mais l’atmosphère vous laisse nauséeux tel un reflux gastrique. Pas vraiment un bon moment de lecture pour moi même si je suis allé au bout de la route mais certains apprécieront sans doute.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire