C’est
la 2ème enquête du « petit juge », Alberto Lenzi, bon
vivant et coureur de jupons. D’un côté, il y a la révolte des journaliers noirs
surexploités par les propriétaires des orangeraies et des oliveraies de cette
région calabraise ; de l’autre, la disparition inexpliquée d’une cargaison
de cocaïne dans le port. Le petit juge devra, une fois de plus, évoluer dans le
milieu de la ‘Ndrangheta, la mafia calabraise. Dans une traduction très agréable,
on savoure le style libre, léger, imagé et pittoresque de Gangemi : ses
comparaisons, ses métaphores, les paraboles de Don Mico et les dialogues
savoureux. Plaisir de lire et en attente de la suite.
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