Dans
ce roman qui clôt la trilogie commencée avec « Un pays à l’aube », on
se retrouve à Tampa, Floride, avec Joe Coughlin, chef de famille qui a passé la
main à son second Dion Bartolo. Considéré comme un excellent conseiller pas
vraiment rangé des affaires par les autres familles mafieuses, Joe devra louvoyer
avec les uns et les autres qui rêvent de toujours plus de pouvoir et de fric et
qui se prennent pour des dieux. Un de ceux-là a lancé un contrat sur Joe qui va
devoir protéger son fils Tomas. Casinos, loteries, trafic de drogues,
prostitution, racket ; chaque famille a son territoire à protéger et une
vie vaut une vie. Avec « Ce monde disparu », on retrouve un bon vieux
roman de gangsters sur fond de Thompsons, aux personnages bien trempés et aux
dialogues bien tournés. Nostalgie !
EN ROUGE et NOIR ! "Il y a une foule de livres qu'il faut avoir lus, que je n'ai pas lus, estimant sans doute qu'ils avaient été assez lus sans qu'ils aient besoin que je les lise; pendant ce temps-là, je lisais d'autres livres." (François CARADEC) Et puis, il y a tous ceux que je voudrais lire... Léo http://leoalu. blogspot.com est toujours consultable.
vendredi 27 janvier 2017
lundi 23 janvier 2017
La veille de presque tout, Victor del ÁRBOL, Actes Sud/noirs, 2017, 307 p.

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