Fin
du XVIIIème, Stockholm, sous le règne de Gustave III de Suède, au temps des
révolutions. « La divine géométrie » est un « éventail »
-le mot est choisi à dessein – de cartomancie et de lames d’un tarot rare basé
sur l’octogone et l’octave, de petits complots, de manœuvres subtiles, de
secrets d’alcôve, de manigances, d’intrigues amoureuses, de mystères, de conspirations
politiques… Ce premier roman sans prétention de Karen Engelmann est très prometteur : léger,
leste, plaisant, frivole, pétillant, malicieux… et sa magie agit très vite sur
le lecteur. Un très bon moment de lecture.
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