mardi 9 avril 2013

Le roman du mariage, Jeffrey EUGENIDES, L’Olivier, 2013, 552 p.



                          Socio-psychologique.
Après une première partie quelque peu ennuyeuse versée sur une vision théorique de la littérature victorienne (Jane Austen, Eliot, James…), sur la sémiotique européenne et les théories de déconstruction/reconstruction à la Barthes et Derrida, on entre enfin dans le triangle amoureux et sentimental de trois post-adolescents, pré-adultes : Madeleine aime Léonard, Mitchell aime Madeleine (avec une 1ère de couverture fléchée fallacieuse). Rien de bien exceptionnel en soi si ce n’est les relations sentimentales de Madeleine avec un maniaco-dépressif d’un côté et avec un apprenti-théologien non-mystique de l’autre dans une Amérique des eighties. Crier au chef-d’œuvre me semble exagéré ! C’est une simple comédie dramatique plaisante à lire et dans laquelle je suis resté un lecteur spectateur distant des personnages du « roman ».

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