Socio-psychologique.
Après
une première partie quelque peu ennuyeuse versée sur une vision théorique de la
littérature victorienne (Jane Austen, Eliot, James…), sur la sémiotique
européenne et les théories de déconstruction/reconstruction à la Barthes et
Derrida, on entre enfin dans le triangle amoureux et sentimental de trois
post-adolescents, pré-adultes : Madeleine aime Léonard, Mitchell aime
Madeleine (avec une 1ère de couverture fléchée fallacieuse). Rien de
bien exceptionnel en soi si ce n’est les relations sentimentales de Madeleine
avec un maniaco-dépressif d’un côté et avec un apprenti-théologien non-mystique
de l’autre dans une Amérique des eighties. Crier au chef-d’œuvre me semble
exagéré ! C’est une simple comédie dramatique plaisante à lire et dans
laquelle je suis resté un lecteur spectateur distant des personnages du « roman ».
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