samedi 22 juillet 2017

Les mémoires d’un chat, Hiro ARIKAWA, Actes Sud, 2017, 325 p.



Je m’appelle « Nana », chat de gouttière ou errant ou sans maître, c’est selon. J’ai élu domicile sur le capot d’un monospace parce que je m’y trouve bien. Parfois, on vient m’apporter des croquettes. Un jour, je me suis bêtement fait attraper par une voiture. La plaie n’est pas belle ! Mais Saturu Miyawaki, le propriétaire du monospace, m’a trouvé dans le fossé et m’a amené chez le véto et c’est comme ça que j’ai dû passer ma convalescence chez Saturu et on s’est plus ou moins attaché, Saturu et moi. C’est lui qui m’a donné le nom de Nana (pour un matou ?) parce que ma queue levée ressemble à un 7, et « nana » c’est le 7 en japonais. Puis pour des raisons qu’il cache à tous, il décide de faire le tour de ses amis pour me faire adopter et c‘est comme ça que lui et moi sommes partis pour un road movie. Et si je ne sais que parler chat, je sais observer et écouter les humains, alors je raconte en « langue de chat… » ! Une jolie et agréable « chatterie » littéraire qui évoque adoptions et amitiés et donc un réel plaisir de lire !

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