On
l’attendait celui-là, après « La fille du train » de celle qui
maîtrise si bien le suspens. Encore une fois, passé et présent s’entremêlent
tout comme les narrateurs qui viennent construire l’intrigue. Une histoire
d’eau : noyades, suicides, malédictions ? Le « bassin des
noyées » serait-il le tombeau des femmes perdues ? Plus que
l’intrigue elle-même, c’est tout l’art de raconter qui, progressivement, fait
monter le suspens : la tension grimpe avec les informations que chacun des
narrateurs confient au lecteur. Encore un roman psychologique et d’atmosphère
tout aussi palpitant et qui rend parfois le lecteur tantôt complice et tantôt
confesseur. Un bon moment attendu et comblé.EN ROUGE et NOIR ! "Il y a une foule de livres qu'il faut avoir lus, que je n'ai pas lus, estimant sans doute qu'ils avaient été assez lus sans qu'ils aient besoin que je les lise; pendant ce temps-là, je lisais d'autres livres." (François CARADEC) Et puis, il y a tous ceux que je voudrais lire... Léo http://leoalu. blogspot.com est toujours consultable.
dimanche 9 juillet 2017
Au fond de l’eau, Paula HAWKINS, Sonatine, 2017, 407 p.
On
l’attendait celui-là, après « La fille du train » de celle qui
maîtrise si bien le suspens. Encore une fois, passé et présent s’entremêlent
tout comme les narrateurs qui viennent construire l’intrigue. Une histoire
d’eau : noyades, suicides, malédictions ? Le « bassin des
noyées » serait-il le tombeau des femmes perdues ? Plus que
l’intrigue elle-même, c’est tout l’art de raconter qui, progressivement, fait
monter le suspens : la tension grimpe avec les informations que chacun des
narrateurs confient au lecteur. Encore un roman psychologique et d’atmosphère
tout aussi palpitant et qui rend parfois le lecteur tantôt complice et tantôt
confesseur. Un bon moment attendu et comblé.
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