samedi 5 novembre 2016

La conjuration primitive, Maxime CHATTAM, Albin Michel, 2013, 550 p.



Il arrive parfois que l’on n’ait plus rien à lire et puis on retrouve un livre prêté, abandonné sur une étagère : pourquoi pas celui-là, alors que je ne suis guère friand de Chattam ? Encore une fois, l’auteur nous plonge dans une intrigue gore, glauque où les victimes ont subi toutes les horreurs inimaginables plus barbares les unes que les autres. Je ne suis pas de ces lecteurs qui se complaisent, qui se repaissent à lire ce qu’il peut y avoir de barbarie chez l’homme et si je l’ai terminé (ouf !), c’était bêtement pour connaître la fin.

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