mardi 8 novembre 2011

WILLIAMSON, Eric Miles, Bienvenue à Oakland, Fayard, 2011



« Chaque ligne respire la crasse, la pluie noire, le cambouis, la bière tiède et le tabac froid. T.Bird, le narrateur, dégueule sa rage par écrit à même le sol d’un box de parking pourri. » (Le Soir, 04/11) Il faut aussi supporter que le narrateur vous postillonne, à travers le tutoiement, les frustrations de celui qui a touché le fond du fond et vous vomisse sa désespérance. Quant à moi, j’ai vite sorti la tête de cette eau saumâtre pour respirer un air un peu plus frais.

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