Benedict Hughes, la
quarantaine, professeur de latin médiéval à Genève, découvre une lettre cachée
dans la reliure d’un vieux livre qu’il vient d’acquérir. Après avoir décrypté
la lettre, il ne comprend pas de quoi et de qui il s’agit. Son enquête l’amène
à découvrir un fait de la Renaissance vénitienne : des assassinats et
l’incendie de la Scuola Grande del San S … connue pour ses tendances coperniciennes ;
c’est Le Carnaval noir. La secte de l’époque, ennemie des découvertes
scientifiques, semble reprendre vigueur avec des fidèles fanatisés contre le
laxisme du pape actuel. Une intrigue dans une atmosphère tantôt historique et
tantôt actuelle. C’est surtout l’écriture d’Arditi qui m’a porté tout le long
de ce récit ainsi que la personnalité de ses personnages. J’ai beaucoup aimé.
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