Sorti
pas vraiment indemne d’un Thilliez, on entre dans le « vif » du sujet
avec Grangé. Une, puis deux prostituées sont retrouvées mortes dans le même
modus operandi, le visage fracassé et leurs sous-vêtements utilisés à la mode
bondage. Grangé ne va pas nous taire toutes les pratiques sado-maso jusqu’à l’extrême
et c’est le commandant Stéphane Corso et son groupe de la criminelle qui s’y
collent. Sobieski est le principal suspect, ex-taulard, prédateur sexuel,
assassin et peintre à succès : encore faut-il le coincer. Corso s’y
applique. Une intrigue particulièrement ficelée (jeu de mot), des scènes de tribunal passionnantes et une chute « brutale » qui bluffe le lecteur.
Excellent suspens à la Grangé.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire