Ah !
quand Deon Meyer donne le meilleur de lui-même, alors c’est un roman
abouti ! Un récit post apocalyptique dû non pas au nucléaire, ni au black
out, ni à une pénurie d’eau mais à une épidémie de fièvre qui a décimé 95% de
la population mondiale. Parmi les survivants de la région du Cap, il y a Willem
Storm et son fils Nico qui regroupent petit à petit ceux qui rejoignent la
colonie « Amanzi » dans un petit village abandonné près d’un barrage
hydro-électrique. Mais il y a le clan des prédateurs à moto ! Un « tourner
la page » excitant chargé d’émotions, de réflexions philosophiques où il
est question de démocratie et de fanatisme religieux.
Un
tout bon moment à passer et un coup de cœur de Léo.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire