Et
si ce nom de M.Piekielny, cité au chapitre VII de « La promesse de l’aube » de Romain Gary, alias Roman Kacew, et
Emile Ajar plus tard, ne se trouvait nulle part ailleurs que dans
« Promesse… » ? Le saura-t-on jamais ? Pour moi ce nom
restera un mystère puisque je me suis lassé à la page 111, parce que la bio de
Gary, celle de Désérable ou encore de M.Piekielny ne m’intéressaient pas ou
plus. Ouvert de prime abord à la quête de l’auteur, déconcerté et puis ennuyé,
malgré le style agréable de l’auteur, certes littéraire mais écrire pour
écrire… laissons ce plaisir à l’auteur ! Amoureux d’une belle écriture,
entrez-y de « plein » pied ; quant à moi, je suis passé à
autre chose !
EN ROUGE et NOIR ! "Il y a une foule de livres qu'il faut avoir lus, que je n'ai pas lus, estimant sans doute qu'ils avaient été assez lus sans qu'ils aient besoin que je les lise; pendant ce temps-là, je lisais d'autres livres." (François CARADEC) Et puis, il y a tous ceux que je voudrais lire... Léo http://leoalu. blogspot.com est toujours consultable.
samedi 23 septembre 2017
vendredi 22 septembre 2017
Deux hommes de bien, Arturo PÉRES-REVERTE, Seuil, 2017, 502 p.


Le narrateur découvre au fond de la bibliothèque de l’Académie royale d’Espagne, les 28 tomes de « L’Encyclopédie » ou « Dictionnaire raisonné », édition originale et extrêmement rare, même au moment de sa diffusion entre 1751 et 1772, au siècle des « Lumières » de Diderot et d’Alembert ; ce qui le pousse à rechercher pourquoi et comment l’Encyclopédie est parvenue dans cette bibliothèque. Fait suite alors un roman historico-fictionnel qui plonge le lecteur dans le Paris prérévolutionnaire et dans l’aventure des deux émissaires envoyés par l’Académie pour ramener les 28 volumes de cette Encyclopédie. L’aventure sera périlleuse pour le bibliothécaire épris de Cervantès, Don Hermogènes Molina et l’Amiral don Pedro Zarate, tous deux académiciens face à deux de leurs congénères obscurantistes qui tenteront de les en empêcher. Un régal pour l’esprit et le plaisir de lire et d’apprendre. Un « éloge de la pensée » !
« Si l’ignorance de
la nature donna naissance aux dieux, la connaissance de la nature est faite
pour les détruire. » (Baron d’Holbach)
lundi 11 septembre 2017
Profil perdu, Hugues PAGAN, Rivages, 2017, 409 p.
Enfin,
un bon (vieux) roman policier noir (ou polar, si vous voulez) qui se déroule en
1979 et donc pas d’ordinateur mais une machine à écrire (c’est quoi diraient
mes petits enfants ?) ; pas de GSM mais un storno (émetteur/récepteur
portable), pas de scène de crime à sécuriser, ni gants latex, ni chaussons mais
quand même une police scientifique, un légiste, des policiers, des dealers, des
petites frappes, du trafic de tout genre, une guéguerre des polices, un homme
de pouvoir, ex-avocat qui a la mainmise
sur la ville, un policier, personnage principal, et son adjoint Catala, tous
deux assez respectueux non pas de la hiérarchie mais des inculpés, une relation
sentimentale, une très bonne intrigue, une écriture agréable… bref, un très bon
polar français. Agréablement surpris et donc un bon moment de lecture… !
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