Je suis tombé par hasard sur ce livre dans ma
« boîte à livres » et le nom de Markale m’a tout de suite interpellé.
En effet, à l’époque où j’étais encore prof d’histoire, j’avais potassé « Les Celtes et la civilisation celtique »,
« La femme celte », et
« Aliénor d’Aquitaine » parus
dans la collection « Regard sur l’histoire » aux Editions Payot. « Notre-Dame de la nuit » est loin
d’être un document scientifique puisqu’il s’agit bêtement d’un roman. Erwan
Merzhinn rentre chez lui un soir et constate que sa femme, Anne, a emporté ses
affaires et l’a quitté. Il erre dans la nuit et commence alors pour lui un long
voyage initiatique où il rencontrera la très étrange Moïra… Une trop longue 1ère
partie, une seconde plus « dynamique » et un épilogue inutile. Roman
un peu fantastique, fantasy, sulfureux, libidineux… qui reprend le thème de la
déesse-mère. Au final : déception !EN ROUGE et NOIR ! "Il y a une foule de livres qu'il faut avoir lus, que je n'ai pas lus, estimant sans doute qu'ils avaient été assez lus sans qu'ils aient besoin que je les lise; pendant ce temps-là, je lisais d'autres livres." (François CARADEC) Et puis, il y a tous ceux que je voudrais lire... Léo http://leoalu. blogspot.com est toujours consultable.
dimanche 28 août 2016
Notre-Dame de la nuit, Jean MARKALE, Presses de la Cité, 1998, 636 p.
Je suis tombé par hasard sur ce livre dans ma
« boîte à livres » et le nom de Markale m’a tout de suite interpellé.
En effet, à l’époque où j’étais encore prof d’histoire, j’avais potassé « Les Celtes et la civilisation celtique »,
« La femme celte », et
« Aliénor d’Aquitaine » parus
dans la collection « Regard sur l’histoire » aux Editions Payot. « Notre-Dame de la nuit » est loin
d’être un document scientifique puisqu’il s’agit bêtement d’un roman. Erwan
Merzhinn rentre chez lui un soir et constate que sa femme, Anne, a emporté ses
affaires et l’a quitté. Il erre dans la nuit et commence alors pour lui un long
voyage initiatique où il rencontrera la très étrange Moïra… Une trop longue 1ère
partie, une seconde plus « dynamique » et un épilogue inutile. Roman
un peu fantastique, fantasy, sulfureux, libidineux… qui reprend le thème de la
déesse-mère. Au final : déception !
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