lundi 22 février 2016

Lisières du corps, Mathieu RIBOULET, Verdier, 2015, 74 p.



Six récits brefs, six nouvelles. C’est la 4ème : « Le nom du soleil en quéchua », que j’ai appréciée le plus : la description d’une photo d’un homme, torse nu, la courbure du corps vers le chien à ses pieds, au bord d’une combe. Aucun détail n’est laissé au hasard et cela nous laisse aller à la rêverie et à l’imaginaire. La langue est travaillée et sincère, fouillée et fluide et plus poésie que prose. Du bel art !

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