dimanche 10 juillet 2011

WALLENTIN, Jan, L’étoile de Strindberg, Fleuve noir, 2011



Erik Hall, plongeur suédois, découvre le cadavre bien conservé d’un homme au fond d’une vieille mine de cuivre inondée. Dans ses mains, il y a une croix ansée que le plongeur remonte à la surface. Hall insiste pour que Don Titelman, historien versé dans l’occultisme et la mythologie, voie cette croix mais celle-ci est recherchée par une étrange société secrète allemande prête à tout pour la récupérer. Le personnage de Titelman est une espèce d’anti-héros toxicomane auquel on ne s’identifie pas, ni aux autres personnages atypiques d’ailleurs. Ce roman n’est ni attachant, ni palpitant, avec ses longueurs qui n’apportent rien à l’intrigue et une fin qui n’a ni queue ni tête et qui échoue dans une chute surréaliste décevante. Le charme suédois n’a pas fonctionné cette fois-ci.

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