mercredi 2 septembre 2015

Le vieux qui déjeunait tout seul, Léa WIAZEMSKY, Michel Lafon, 2015, 172 p.



Ce roman n’est que du bonheur ! Rien que du bonheur ! « Tous les lundis, je l’attends. Comme tous les lundis à midi trente précise, il pousse la porte du restaurant pour s’installer à sa place habituelle. » « Je », c’est Clara, la serveuse du resto de Georges. « Il », c’est Henri alias Clément, un vieux monsieur qui apprécie les poireaux vinaigrette et le bœuf carottes. Entre les deux, il y a une amitié qui se noue, une complicité qui se crée. Elle sera la petite fille qu’il aurait aimé avoir et il sera le grand-père qu’elle n’a pas connu. Emotions, sentiments, tendresse et fraîcheur. Un gros coup de cœur et une larme à l’œil.

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