samedi 25 mai 2013

A toi pour l’éternité, Daniel GLATTAUER, Grasset, 2013, 261 p.



                   Sentimental !
Judith, 33 ans, libre et indépendante, tient une petite entreprise de luminaires. Hannes est architecte, rénovateur et créateur de pharmacies, 43 ans, célibataire. Ils se rencontrent (comme par hasard) dans une épicerie : Hannes a écrasé « malencontreusement » le talon de Judith. Commence alors l’amour passion de lui pour elle : amour assidu, possessif, étouffant, harcelant, manipulateur, destructif, constricteur… « mais être aimée à la folie ne suffisait pas à éveiller des sentiments réciproques. » Amour passion donc mais pas du tout passionnant. J’ai survolé les cinquante dernières pages n’ayant pas/plus envie d’en connaître la « chute » ! Sentimental ou anti-sentimental, le roman touchera sans doute des lectrices ! Pas moi ! Ennui profond ! (On est loin de l’original « Quand souffle le vent du nord. »)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire