.
Présenté
comme la suite de « L’ombre du vent »
et de « Le jeu de l’ange »,
ce roman reprend certains des personnages et l’ambiance des deux précédents récits :
la librairie Sempere, le père et Daniel, le fils, mais c’est plus l’histoire de
Fermin Romero de Torres. Si j’ai trouvé l’intrigue moins dense, moins
fantastique et plus à la Dumas (Le comte
de Monte Cristo), j’ai dû attendre la fin du récit pour pouvoir retourner
trop brièvement au « cimetière des livres oubliés ». La magie a donc
moins bien fonctionné mais heureusement le style, l’écriture et l’atmosphère,
eux, ont agi (Merci, Monsieur Maspéro !) Pas un coup de cœur mais un bon
roman.
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