Six récits brefs, six nouvelles. C’est la 4ème :
« Le nom du soleil en quéchua »,
que j’ai appréciée le plus : la description d’une photo d’un homme, torse
nu, la courbure du corps vers le chien à ses pieds, au bord d’une combe. Aucun
détail n’est laissé au hasard et cela nous laisse aller à la rêverie et à
l’imaginaire. La langue est travaillée et sincère, fouillée et fluide et plus
poésie que prose. Du bel art !
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