lundi 22 février 2016

Derrière les panneaux il y a des hommes, Joseph INCARDONA, Finitude, 2015, 277 p.



Pierre a tout abandonné. Il vit dans sa voiture, sur l’autoroute, depuis six mois, quand sa vie a basculé sur une aire de repos d’une autoroute. Il attend. Quelqu’un sait, quelqu’un doit savoir et il attend. Une écriture « ping-pong », mais on devrait dire « lignes droites », ou « ellipses ; on devrait dire « circonvolutions » Phrases courtes et style saccadé ; presqu’un scénar de film. C’est du direct et c’est original !

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