Julian, écrivain, s’est tranché les veines à bord de
sa barque dans un étang de sa propriété. Pourquoi ? C’est que tente de
savoir son ami Philip Anders, critique littéraire. Ce dernier devra d’ailleurs
lui rendre hommage lors de la cérémonie d’adieu, mais comme le dit le narrateur,
son discours a dû paraître verbeux et ennuyeux… et c’est le cas pour ce récit
que j’ai abandonné avant la 60ème page. A peine commencé et pas
terminé : j’aurais sans doute dû m’accrocher mais j’avais autre chose à
lire.
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