lundi 24 février 2014

L’analphabète qui savait compter, Jonas JONASSON, Presses de la Cité, 2013, 475 p.



           
Humour déjanté, comédie burlesque, facéties surprenantes et élucubrations abracadabrantes, situations surréalistes : une lecture délassante mais qui peut lasser pas ses retournements de situations répétitifs et sa longueur. Plaisir mitigé malgré le regard et les réflexions détachées mais senties sur la société et les cultures!

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