Policier
japonais.
Yoshitaka
Mashiba et Ayamé sont mariés depuis un an. Suite au contrat passé avant leur mariage,
si Ayamé n’est pas enceinte dans leur 1ère année, ils divorceront et
Ayamé n’est pas enceinte. Après une fête avec leurs amis, Ayamé décide de
partir voir ses parents. Le 2ème jour de leur séparation, Yoshitaka
est retrouvé mort dans son salon, une tasse de café à l’arsenic renversée à ses
côtés. Si le lecteur connaît l’auteur du crime, les enquêteurs, eux,
l’ignorent. L’énigme consiste à savoir comment le poison s’est retrouvé dans la
tasse de café. Mission impossible parce que le crime semble parfait ?
« Un café maison » est un
policier (pas un polar) tout à fait traditionnel avec une enquête à la Sherlock
Holmes ou à la Hercule Poirot revisitée mais exotique avec ses noms nippons,
cette déférence et cette contenance toutes japonaises : jamais un mot plus
haut que l’autre ! Un bon policier et un agréable moment : un excellent
café bien torréfié et dosé à l’arôme subtil.
(Vient de sortir
du même auteur « La prophétie de l’abeille »)
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